Alexandre Maral, avec la collaboration de Cyril Pasquier
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Jardins de Versailles Bassins des Saisons

Bassins des Saisons

À la différence de tous les programmes sculptés des jardins, conçus pour être répartis sur des perspectives ou dans des bosquets, celui des saisons de l’année est disposé en quatre bassins scandant les axes latéraux, parallèles à la grande perspective, l’un au nord et l’autre au sud, sans unité de lieu – les bassins n’étant visibles simultanément que de loin, depuis le haut de l’allée Royale.

De forme circulaire, les deux bassins occidentaux, qui datent de 1662-1663, préexistent au programme des saisons, envisagé en 1672 et à l’origine du creusement des deux bassins orientaux, de forme octogonale.

L’ensemble des saisons se lit et se parcourt depuis le bassin d’Apollon, dans le sens des aiguilles d’une montre, si bien que les saisons chaudes sont placées au nord, les saisons froides au sud, selon une topographie inversée qui est déjà celle du bassin d’Apollon.

Les sculptures des bassins des Saisons (Vjs 175 ; Vjs 271 ; Vjs 377 ; Vjs 437) furent exécutées en plomb à partir de 1672.
La première mention comptable relative aux bassins des Saisons – les « ornemens de la fontaine des Quatre Saisons » – figure dans les prévisions pour 167211. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 591.. En mai 1672, Colbert informa Louis XIV, alors en campagne, que « l’on travaille au modèle des quatre fontaines nouvelles22. Lettres, instructions et mémoires de Colbert, 1658-1683, t. V, p. 326, lettre de Colbert à Louis XIV, 4 mai 1672. ».
Selon Claude Nivelon, elles furent créées à partir de dessins de Charles Le Brun33. Vie de Le Brun, vers 1699, p. 421. Selon le guide de Piganiol de La Force, les bassins des Saisons ont été réalisés « d’après les desseins de Le Brun » (Piganiol de La Force, 1701, p. 284 et 313-314)..
Chaque saison est symbolisée par une divinité mythologique, représentée en position allongée, entourée de figures secondaires et d’attributs de la saison concernée.

Au nord-ouest, le bassin du Printemps reçut le groupe de Flore, dite aussi Le Printemps (inv. 1850.9602), exécuté par Jean-Baptiste Tuby.
Le groupe de Flore fut achevé en 1675, date d’intervention (« peinture et dorure ») du peintre et doreur Jacques Bailly44. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 29 septembre 1675..
La déesse couronnée de fleurs est entourée de quatre Amours.
Le groupe de Flore fut outrancièrement restauré en 1897 : « On a détruit le chef-d’œuvre de Tuby […]. La Flore avait une tache de rouille au cou, quelques usures insignifiantes. Pour tout réparer, il suffisait, sans doute, de doubler l’intérieur sans toucher à la surface modelée. Mais cela aurait coûté si peu ! On a donc coupé les deux seins et toute la poitrine, on les a refaits et on les a raccordés, et de quelle manière ! La Flore avait une fissure aux jambes. C’était assez de la boucher : insuffisante réparation, car il fallait dépenser 10 000 francs. On a donc coupé les jambes et on les a refaites. On a refait les deux bras, et des draperies, et des enfants. Par l’importance visible de ces réparations inutiles et sacrilèges, mais coûteuses, on voulait démontrer la nécessité de ces réparations […]. Et, maintenant, cette Flore exquise a des seins sans forme, luisants, en plomb cru, les jambes de travers, des pieds de mannequin, un poignet qui semble un tuyau à gaz aplati, un bras cassé sur lequel coule une draperie molle comme du saindoux figé. Un de ces pieds, je l’ai vu moi-même entre les mains de l’ouvrier qui le limait. Il n’y allait pas de main morte. Et savez-vous à qui ces restaurateurs ont confié la réfection de ces plombs ? Au plombier du château. Quoi de plus naturel ? Lorsqu’un décret imbécile a décidé que seuls les marbres, matière noble, étaient des œuvres d’art, on a soustrait les groupes de plomb à la conservation de Versailles, qui les aurait défendus contre un pareil vandalisme, et on les a remis au service d’architecture. Pour ce service, les groupes sont l’épanouissement naturel des tuyaux, rien de plus. Ne sont-ils pas de même matière ? Donnons-les au plombier ! Qu’il les refasse : c’est son affaire […]. On n’en a pas encore fini avec la Flore. On ne peut pas laisser visibles les horribles blessures qu’on lui a faites. On la dorera sans doute comme le bassin de Latone. Au lieu de fondre le nouveau dans l’ancien, on changera l’ancien pour le rendre pareil au nouveau. Et lorsqu’une couche d’or américain déguisera de ses flamboiements et de son abominable éclat les forfaits qu’on a accomplis, on s’arrêtera, satisfait, et nul amant de la beauté hautaine du xviie siècle, de sa grâce noble et forte, n’osera plus jamais retourner auprès de ces statues bien-aimées, de ces bassins mélancoliques où revivaient des choses passées, ni revoir ces chefs-d’œuvre mutilés, qui, sous le lent effort de la nature, avaient fini par prendre le ton des vieux troncs d’arbre, des feuilles mortes, par se fondre avec le paysage, et qui aujourd’hui s’en détachent et y détonent, aveuglants de blancheur, rutilants d’or criard, détruits sans retour55. Hovelaque, 1897, p. 3-4.. »

Jardins de Versailles - Fontaine de Flore, accompagnée d’un bassin doré semé de fleurs, dans les jardins de Versailles
fig. 1 - Pierre Lepautre, Fontaine de Flore, accompagnée d’un bassin doré semé de fleurs, dans les jardins de Versailles, 1680. Gravure. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, GR 157.14 © Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin

Sujet d’une gravure de Pierre Lepautre (fig. 1), le bassin de Flore (Vjs 271) comportait à l’origine des figures et motifs secondaires disposés en deux cercles concentriques autour du groupe central : huit Amours s’ébattant sur de petits îlots et quatre bouquets de fleurs. Les Amours qui formaient le cercle le plus proche du groupe central supportaient de leurs mains une guirlande de fleurs, qui les reliait entre eux. En 1681, les Amours furent transférés au bosquet de la Salle du Conseil.
Deux d’entre eux, transformés en un groupe (Vjs 745), quittèrent le bosquet pour les jardins du château de Meudon, peut-être dès 1695 – année où Louis XIV fit don de sculptures à son fils pour son château de Meudon. Le groupe disparut à une date inconnue, probablement au xviiie siècle.
Après la destruction du bosquet de la Salle du Conseil en 1706, les six Amours restants furent également transformés en trois groupes de Deux Amours (inv. 1850.9849, inv. 1850.9892 et inv. 1850.9893) et installés dans les jardins de Trianon. Ils disparurent à la fin du xixe siècle, remplacés par des surmoulages (inv. 2015.00.198, 2020.00.003.1 et 2020.00.003.2).

Les bouquets de fleurs disposés dans le bassin furent probablement transférés au bosquet de l’Étoile, où ils ornèrent le centre de cinq bassins périphériques, avant de disparaître dès 170566. Grand état de la dépense ordinaire des Bâtiments du roi, 1704, fol. 279, no 11.. Quant à l’ornementation en plomb de la margelle, consistant en un riche assemblage de couronnes de fleurs selon la gravure de Lepautre, elle ne fut pas conservée. Sa disparition semble dater de 1684, date de la réfection des margelles des bassins des Saisons77. Marché passé avec les marbriers François Deschamps et Jacques Libert, 17 février 1684..

Thomas Regnaudin exécuta pour le bassin nord-est le groupe de Cérès, dite aussi L’Été (inv. 1850.9586). Ce dernier fut achevé en 1675, date d’intervention du peintre et doreur Paul Goujon, dit La Baronnière88. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 3 juillet 1675..
La déesse de l’Été y est couronnée de blés et tenait une faucille, aujourd’hui manquante. Elle est allongée sur un épais tapis de blé, sur lequel prennent place aussi trois Amours.
Le groupe de Cérès fut lourdement restauré en 1743 par le sculpteur Louis Pajot99. Mémoire de restauration du bassin de Cérès par Pajot, 1743..

Jardins de Versailles - Le bassin de Cérès
fig. 2 - Pérelle, Le bassin de Cérès, vers 1680. Gravure. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, GR 139.173 © Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin

Une gravure de Pérelle (fig. 2) constitue un précieux témoignage de l’état d’origine du bassin de l’Été (Vjs 437). Autour de l’îlot central, le bassin comportait huit motifs secondaires : quatre Amours et quatre groupes de gerbes de blé, répartis en cercle.
En 1681, les Amours (Vjs 879, Vjs 1070, Vjs 1071 et Vjs 1072) furent transférés au bosquet de la Salle du Conseil. Trois d’entre eux (Vjs 1070, Vjs 1071 et Vjs 1072) furent transportés à Meudon, peut-être en 1695. Ils disparurent probablement dans le courant du xviiie siècle. Le quatrième Amour disparut dès 1706, lors de la destruction du bosquet de la Salle du Conseil.

Les groupes de gerbes furent vraisemblablement retirés du bassin en même temps que les Amours, en 1681. Quant aux gerbes de blé, doubles et entrecroisées, constituant les ornements en plomb de la margelle, par ailleurs figurées sur la gravure de Pérelle, elles disparurent sans doute en 1684, à l’occasion de la réfection de la margelle du bassin1010. Marché passé avec les marbriers François, Louis et Claude Deschamps, 9 février 1684 ; Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 458, paiement du 20 août 1684 au voiturier Rinquet « pour un petit chariot et voiture pour la démolition des ornemens du bassin de la Cérès »..

Dans la partie sud des jardins, le bassin de l’Automne reçut le groupe de Bacchus, dit aussi l’Automne (inv. 1850.9187), dû aux frères Gaspard et Balthasar Marsy.
Le groupe de Bacchus fut achevé en 1675, date d’intervention du peintre et doreur Jacques Bailly1111. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 24 mai 1675..
D’esprit corrégien, le dieu, couronné de pampres de vigne, y est allongé sur un amoncellement de grappes de raisin, entouré de quatre jeunes satyres pressant le vin, l’un d’entre eux étant déjà ivre et endormi.
Quatre autres satyres étaient disposés dans le bassin. À la différence des figures enfantines des autres bassins des Saisons, celles du bassin de l’Automne (Vjs 377) ne furent transférées au bosquet de la Salle du Conseil qu’après 1686. Elles sont en effet encore attestées au bassin de l’Automne (Vjs 377) par le Mercure galant de novembre 16861212. Mercure galant, novembre 1686, p. 163-165..
Trois des quatre satyres (inv. 1850.9852, inv. 1850.10043 et inv. 2012.00.237) furent transférés à Trianon lors de la destruction du bosquet de la Salle du Conseil, en 1706. Le quatrième (Vjs 873) disparut cette année-là.
L’un des trois satyres (inv. 2012.00.237) est toujours dans les jardins de Trianon. Les deux autres (inv. 1850.9852 et inv. 1850.10043) ne sont plus connus que par les surmoulages (inv. 2016.00.091 et inv. 2015.00.199) qui les ont remplacés dans les jardins de Trianon.

Jardins de Versailles - Le bassin de Bacchu
fig. 3 - Pérelle, Le bassin de Bacchus, vers 1680. Gravure. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, GR 139.153 © Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin

À l’origine, la margelle du bassin de l’Automne était revêtue « de pampres et de grappes de raisins de métal peint », comme le mentionne la lettre de la gravure de Pérelle (fig. 3). Cette ornementation disparut probablement en 16841313. Marché passé avec les marbriers François, Louis et Claude Deschamps, 9 février 1684..

François Girardon exécuta le groupe de Saturne, dit aussi l’Hiver (inv. 1850.9209) pour le bassin de l’Hiver.
Le groupe de Saturne semble avoir été précédé par au moins un dessin de Le Brun1414. Le Brun, vers 1672. : ce dernier est néanmoins inversé au regard de la figure de Girardon et, en outre, il présente d’importantes variantes, notamment dans la posture du dieu Saturne, tandis qu’aucun des motifs secondaires d’enfants n’a été repris.
Girardon apparaît explicitement dans les registres comptables « pour un modèle d’ornement de fontaine », vraisemblablement celle de l’Hiver, en août 16721515. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 617, paiement du 18 août 1672.. Pour autant, à la différence des autres fontaines des Saisons, celle de Saturne (Vjs 175) semble aurait été avoir été entreprise avec un certain retard : en octobre 1674, Colbert indiquait en effet, à propos de la fontaine de Saturne, que « le modèle résolu sera exécuté », ce qui laisse entendre, au sein de la maîtrise d’ouvrage, une ou plusieurs discussions relatives au choix des modèles proposés1616. Lettres, instructions et mémoires de Colbert, 1658-1683, t. V, p. 368-372, « Ordres et règlements pour les bâtiments de Versailles », 24 octobre 1674, à la p. 370..
Les paiements concernant clairement la fontaine de Saturne sont consignés à partir d’avril 1675 et s’échelonnent jusqu’en novembre 16771717. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 831 et 963..
En novembre 1677, Girardon et Regnaudin furent rémunérés conjointement « pour les ornemens qu’ils ont fait [sic] à la fontaine de Saturne1818. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 963, paiement du 28 novembre 1677. ».
Deux ans après les éléments sculptés des trois autres bassins des Saisons, ceux de Saturne reçurent leur dorure, par Jacques Bailly, durant l’année 16771919. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 961..
Dieu stérile et sans pitié, célébré dans l’Antiquité par des fêtes – ou Saturnales – qui se déroulaient en décembre, Saturne était un symbole approprié à la saison hivernale.
Allongé sur des coquillages, le dieu s’apprête à dévorer la pierre qui a été substituée à son fils Jupiter : selon la description de Jean-Aymar Piganiol de La Force, « d’un [sic] espèce de sac qu’il tient, il en tire une pierre qu’il semble devoir dévorer, sur ce que sa femme Rhée lui fit accroire qu’elle en étoit accouchée, ne trouvant pas d’expédient plus propre pour sauver Jupiter, qu’elle venoit de mettre au monde2020. Piganiol de La Force, 1701, p. 283-284. ».

Jardins de Versailles - Le bassin de Saturne
fig. 4 - Pérelle, Le bassin de Saturne, vers 1680. Gravure. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, GR 139.157 © Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin

Comme le montre une gravure de Pérelle (fig. 4), autour de l’îlot central, le bassin de l’Hiver (Vjs 175) comportait à l’origine huit motifs secondaires : quatre Amours et quatre sabliers ailés, répartis en cercle et reliés entre eux par une grande guirlande de coquillages.
Comme les autres bassins des Saisons, celui de l’Hiver (Vjs 175) fut simplifié en 1681 : il perdit alors ses motifs secondaires, transférés au bosquet de la Salle du Conseil.
Huit figures d’Amours par Girardon étant attestées dans le fossé du bosquet de la Salle du Conseil, il est vraisemblable que Girardon ait créé quatre figures d’Amours supplémentaires en 1681. Les quatre figures d’Amours secondaires provenant du bassin de l’Hiver (Vjs 175) peuvent correspondre à celles qui ont servi à constituer les deux groupes de Deux Amours (inv. 1850.9850 et inv. 1850.9851) localisés aujourd’hui à Trianon ou à quatre figures d’Amours (Vjs 847, Vjs 848 et Vjs 1237) disparues dans le courant du xviiie siècle. Deux de ces dernières avaient été transférées dans les jardins du château de Meudon et assemblées en un groupe (Vjs 1237) avant la fin du xviie siècle, les deux autres (Vjs 847 et Vjs 848), qui restèrent indépendantes, avaient été transférées dans les jardins de Trianon lors de la destruction du bosquet de la Salle du Conseil en 1706.

À l’instar des sabliers ailés, les ornements de plomb de la margelle – certainement des congélations et des coquillages – visibles sur la gravure de Pérelle ne furent pas conservés, mais leur disparition daterait de 1684, date de la réfection des margelles des bassins des Saisons2121. Marché passé avec les marbriers François Deschamps et Jacques Libert, 17 février 1684 ; Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 458, paiement du 18 juin 1684 au voiturier Rinquet « pour avoir transporté et voituré au magasin le cordon de plomb du bassin de Saturne »..

En 1686, le peintre François Chaillot fut rétribué « pour ses ouvrages de verni façon de bronze aux fontaines des Quatre Saisons2222. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 889, paiements de mai-novembre 1686. ».

1. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 591.
2. Lettres, instructions et mémoires de Colbert, 1658-1683, t. V, p. 326, lettre de Colbert à Louis XIV, 4 mai 1672.
3. Vie de Le Brun, vers 1699, p. 421. Selon le guide de Piganiol de La Force, les bassins des Saisons ont été réalisés « d’après les desseins de Le Brun » (Piganiol de La Force, 1701, p. 284 et 313-314).
4. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 29 septembre 1675.
5. Hovelaque, 1897, p. 3-4.
6. Grand état de la dépense ordinaire des Bâtiments du roi, 1704, fol. 279, n° 11.
7. Marché passé avec les marbriers François Deschamps et Jacques Libert, 17 février 1684.
8. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 3 juillet 1675.
9. Mémoire de restauration du bassin de Cérès par Pajot, 1743.
10. Marché passé avec les marbriers François, Louis et Claude Deschamps, 9 février 1684 ; Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 458, paiement du 20 août 1684 au voiturier Rinquet « pour un petit chariot et voiture pour la démolition des ornemens du bassin de la Cérès ».
11. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 829, paiement du 24 mai 1675.
12. Mercure galant, novembre 1686, p. 163-165.
13. Marché passé avec les marbriers François, Louis et Claude Deschamps, 9 février 1684.
14. Le Brun, vers 1672.
15. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 617, paiement du 18 août 1672.
16. Lettres, instructions et mémoires de Colbert, 1658-1683, t. V, p. 368-372, « Ordres et règlements pour les bâtiments de Versailles », 24 octobre 1674, à la p. 370.
17. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 831 et 963.
18. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 963, paiement du 28 novembre 1677.
19. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. I, col. 961.
20. Piganiol de La Force, 1701, p. 283-284.
21. Marché passé avec les marbriers François Deschamps et Jacques Libert, 17 février 1684 ; Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 458, paiement du 18 juin 1684 au voiturier Rinquet « pour avoir transporté et voituré au magasin le cordon de plomb du bassin de Saturne ».
22. Comptes des Bâtiments du Roi, 1664-1715, t. II, col. 889, paiements de mai-novembre 1686.